Un week-end de trois jours à Bordeaux
Cela faisait déjà quelques temps que je souhaitais découvrir Bordeaux, notamment depuis notre séjour en Charente-Maritime en avril 2017. Cette ville de Gironde, en Nouvelle-Aquitaine, doit sa fortune à ses vins et à son port. Elle évolue depuis des années avec de nombreux réaménagements.
Nous y avons passé un très bon week-end, Bordeaux est vraiment une belle ville. Près de la moitié de celle-ci est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. C’est la deuxième ville française à abriter le plus de monuments classés.
Jour 1
Après un réveil très matinal et un départ à 6h03 de la gare de Tourcoing, nous arrivons à Bordeaux vers 11h le vendredi 12 avril 2019. L’aller-retour ne nous a pas coûté très cher. Nous sommes partis avec les trains Ouigo qui proposent des tarifs intéressants. Le bus 1 que j’avais repéré ne passe finalement pas à cause d’une manifestation à proximité. Nous rejoignons l’appartement à pied en 45 minutes environ. Il s’agit d’un logement réservé via le site Airbnb pour moins de 100€ les deux nuits. L’appartement est situé rue Georges Mandel, non loin du quartier Saint-Seurin.
Après avoir mangé et pris possession des lieux, nous partons à la découverte de la ville. Nous commençons par la basilique Saint-Seurin, qui figure parmi les plus anciennes de la ville et qui est classée par l’UNESCO.
Nous rejoignons le Cours Clémenceau, l’une des trois artères qui délimite le « Triangle d’or » avec le Cours de l’Intendance et les allées de Tourny. Le quartier est chic, les monuments et les façades valent le détour, on ne sait pas où poser les yeux… C’est le quartier le plus beau et le plus riche de la ville. Il abrite des hôtels particuliers, des boutiques de luxes et des grands restaurants.
On arrive alors via la rue Buffon sur la place des Grands Hommes. On y trouve une belle galerie en verre et métal. Nous découvrons ensuite le Cours de l’Indépendance, « les Champs-Élysées bordelais » avec ses grandes enseignes. Il ne faut pas hésiter à lever les yeux ! On y aperçoit de jolis éléments sur les façades des bâtiments comme les « hommes-poissons » de l’hôtel Acquart.
Au n°19, on emprunte le passage Sarget, couvert d’une belle verrière, et on arrive au pied de l’église Notre-Dame. Sur la place du Chapelet, une statue de Goya rappelle que ses obsèques eurent lieu dans cette église. On y entre pour admirer l’intérieur. A côté se trouve la Cour Mably, l’un des deux anciens cloîtres de l’ancien couvent dominicain construit au XVIIème siècle.
Nous arrivons ensuite sur la place de la Comédie où se trouve le Grand-Théâtre. Il a été inauguré en 1780 et possède douze colonnes sur lesquelles neuf muses et trois déesses se tiennent. Il est le siège de l’Opéra national de Bordeaux. On pénètre à l’intérieur pour y observer le grand escalier d’honneur que Charles Garnier adaptera à l’opéra de Paris.
En avançant vers le Cours du XXX-Juillet, on repère les allées de Tourny, promenade où se trouve un joli carrousel. Un bâtiment attire notre attention avec sa forme pointue. Il abrite le CIVB (Conseil Interprofessionnel des Vins de Bordeaux) et un bar à vins.
Nous nous dirigeons vers la place des Quinconces, l’une des plus grandes d’Europe. C’est une esplanade de 12ha (120 000m2 !) où se trouve le monument aux Girondins. Au sommet de la colonne de 43 mètres, une statue en bronze de la Liberté brisant ses chaînes.
Nous empruntons un escalier qui nous mènent vers les quais que nous longeons jusqu’à la place de la Bourse. C’est l’ancienne place royale, un chef d’œuvre de l’architecture classique du XVIIIème siècle. Le reflet de la bourse dans le miroir d’eau est devenu l’une des images emblématiques de la ville. A voir de jour comme de nuit !
Nous nous dirigeons vers la rue Saint-Rémi et entrons dans l’ancienne église, réhabilitée aujourd’hui en un lieu culturel : l’espace Saint-Rémi. On avance ensuite vers l’îlot Louis qui nous ramène vers le théâtre. De là, on prend la rue Sainte-Catherine, réputée pour être la plus longue rue commerçante piétonne d’Europe avec ses 1 200 mètres.
Petit plaisir sucré avec les cannelés, ces petits gâteaux à la pâte molle et tendre parfumée au rhum et à la vanille, entourée d’une croûte brune et croustillante. La pâtisserie est originaire de la ville et on en trouve donc très facilement. Celle-ci était très en vogue dans les années 1930 mais on en ignore l’origine exacte. J’en ai déjà fait et mangé mais je suis contente de les goûter ici, à Bordeaux. La croûte de ceux-ci est plus épaisse et plus dure que ceux que nous préparons à la maison et le goût de rhum bien plus prononcé.
La rue du Parlement nous mène ensuite à la place du Parlement. Elle est très charmante, avec ses belles façades (observez l’omniprésence des mascarons au-dessus des fenêtres) et sa fontaine au centre.
C’est ensuite la place Saint Pierre que nous découvrons, petite place sympathique aménagée autour du parvis de l’église Saint-Pierre. On passe devant le square Vinet et son mur végétal. Nous arrivons sur la place Camille-Jullian où l’on peut voir les vestiges de colonnes. Le quartier Saint-Pierre étant le cœur de l’ancien castrum romain.
Nous continuons à marcher dans les ruelles et on arrive sur la place du Palais. C’est l’ancienne « place Brutus », où se trouve la très belle porte Cailhau, érigée à la fin du XVème siècle. On entre dans le vieux Bordeaux par des « portes » et chacune à son propre style. La porte Cailhau et la Grosse Cloche sont les seules conservées de l’époque médiévale où elles faisaient partie des remparts de la Ville.
Nous descendons jusqu’à la porte de Bourgogne, en arc de triomphe. Elle a été construite par Louis-Urbain Aubert de Tourny, marquis de Tourny, intendant de Guyenne qui a œuvré à la transformation de Bordeaux. Elle devait ouvrir la ville vers l’extérieur tout comme les portes d’Aquitaine, de Dijeaux et de la Monnaie.
Depuis le quai, nous arrivons via la rue Maubec sur la place Saint Michel (place Canteloup-et-Meynard). On y trouve la Basilique Saint-Michel, de style gothique, l’un des principaux lieux de culte catholique de la ville. Juste à côté se trouve son clocher indépendant : la Flèche Saint-Michel. Avec ses 114 mètres de hauteur, elle est le deuxième clocher de France.
Le quartier Saint-Michel est dit populaire et cosmopolite. Nous nous posons pour boire un verre en terrasse. Le temps passe et il est trop tard pour visiter la basilique. Nous faisons le tour de celle-ci puis un petit crochet par la fontaine de la Grave, aménagée en 1788. Pour ceux qui aiment faire les marchés et découvrir les produits locaux, le marché des Capucins ne se situe pas très loin, sur la place du même nom (il s’agit du nom de l’ancien couvent).
On continue sur la rue des Fauves, direction le Cours Victor Hugo. Nous nous retrouvons devant la célèbre Grosse Cloche. Il s’agit du beffroi de l’ancien hôtel de ville, érigé au XVème siècle. La cloche pèse 7 800 kg : impressionnant !
Nous remontons la rue Saint James où nous nous arrêtons dans quelques boutiques sympathiques avant de rejoindre la place Fernand-Lafarge. On jette un coup d’œil à l’église Saint-Paul du XVIIème siècle et au palais des sports, construit dans les années 1950 dont l’architecture contraste avec le reste du décor.
Nous sommes en effet ici dans le Vieux Bordeaux, petites ruelles pavées et charmes médiévaux sont au rendez-vous. On continue à flâner sur la rue Sainte-Colonne. Il y règne une ambiance sympathique, peut-être de part les commerces qui sont plutôt des petites boutiques de créateurs ou d’artisanat. Au n°38, je découvre par hasard « la Recharge », la première épicerie vrac (sans emballage) à sa ouverture. On entre y faire un tour. Même ambiance en continuant, rue de la Rousselle.
Nous revenons sur nos pas pour manger au niveau de la place, chez « Santosha », un restaurant indonésien-thaï. Au menu ce soir pour nous : un pad thaï et un Bon hé (végétarien) : du riz thaï avec un sauté de légumes, du tofu et du soja, des assiettes très généreuses !
Jour 2
Pour notre deuxième journée à Bordeaux, nous choisissons de prendre un pass journée afin de se déplacer en tram, marcher un peu moins que la veille et visiter des quartiers éloignés les uns des autres. C’était sans compter la manifestation des gilets jaunes qui a bloqué la circulation des transports en commun. Résultat, nous nous retrouvons à faire à nouveau plus de 15km à pied !
Nous partons de la place des Martyrs de la résistance, direction la rue Castéja puis la rue du Palais-gallon où nous passons devant la Grande Poste. C’est l’ancien centre des postes et télécommunications de Bordeaux, réhabilité en espace culturel avec spectacles, boutiques et restaurant.
Depuis la place Gambetta, alors en travaux, on descend la rue Bouffard où se situe le musée des Arts décoratifs et du Design. On arrive alors devant le palais Rohan qui est l’hôtel de ville de Bordeaux. On fait le tour du bâtiment dont les deux ailes accueillent le musée des Beaux-Arts, l’entrée se situe Cours d’Albret. L’accès est bloqué à cause des manifestations mais nous aurions pu nous balader dans le jardin et découvrir la façade arrière du Palais. Le lieu avait l’air très agréable.
On arrive sur la place Pey-Berland qui accueille également la très belle cathédrale Saint-André, de style gothique. Nous avons pris le temps de la visiter. A côté, se trouve la Tour Pey-Berland, dont la statue de Notre-Dame d’Aquitaine culmine à 66 mètres de haut. Tout comme sur la place Saint Michel, quelques mètres séparent l’édifice religieux de son clocher pour éviter l’effondrement, le sol étant marécageux.
On prend ensuite la rue des frères Borie où se trouve le vieux fort du Hâ ou château du Hâ. Il s’agit d’une ancienne forteresse de Bordeaux qui accueille aujourd’hui l’École Nationale de la Magistrature et le Palais de Justice. A côté, se trouve le Tribunal de Grande Instance, moderne quand à lui. Au sol, on peut lire les articles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme, transcrit en braille.
Nous quittons le quartier par la rue du Maréchal Joffre et la rue Jean Burguet. On passe devant l’église Sainte-Eulalie puis on s’arrête devant la façade art déco de la bourse du travail. Via le Cours Aristide-Briand, on rejoint la place de la Victoire où l’on trouve la porte d’Aquitaine, construite au XVIIIème siècle, la colonne de Theimer en marbre rouge, hommage à la vie et au vin, ainsi que deux tortues en bronze.
C’est l’heure du repas, nous mangeons en terrasse à « La Cabane à Bagels », située à l’autre bout de la rue Sainte-Catherine. L’ambiance est ici moins chic et plus étudiante. Nous avons pris un bagel « Toronto » avec dinde, tomates, concombres, salade et sauce et un bagel « Ontario » avec chèvre, tomates, concombres, salade, tartare de légumes et sauce. L’accueil n’était pas au rendez-vous mais les prix sont très abordables (6,70€ l’unité). La quantité assez limité à mon goût mais pour manger sur le pouce et pas cher cela peut convenir.
Après avoir attendu un tram qui n’est jamais arrivé, nous avons décidé de faire la route à pied jusqu’à l’autre rive. Nous remontons la rue Sainte Catherine où nous faisons un léger détour rue du Grand-Rabbin-Joseph-Cohen pour jeter un coup d’œil sur la Grande synagogue de Bordeaux. Des milliers de familles juives y ont été emprisonnées sous l’occupation allemande, avant d’être déportées vers les camps de Dachau et Auschwitz-Birkenau… On continue notre chemin vers le Cours Victor Hugo afin de rejoindre le pont de pierre.
Là encore, aucun tram ne passe. La traversée vers la rive droite se fait donc à pied, jusqu’à la place Stalingrad. C’est là que se trouve le lion bleu (de 6 mètres de haut) de l’artiste Français Xavier Veilhan. Nous longeons le quai Queyries jusqu’au parc des angéliques puis nous entrons dans le jardin botanique où nous faisons une petite pause.
On continue jusqu’à Darwin éco-système, le lieu alternatif de la rive droite dédié à la culture urbaine. Il vaut la découverte et le déplacement sur ce côté de la rive, c’est d’ailleurs aujourd’hui l’un des lieux les plus visités de la ville.
Il s’agit d’une ancienne caserne militaire qui accueille désormais un immense skate-park, des espaces d’expression pour les graffeurs, une épicerie bio, un restaurant (Le Magasin Général, le plus grand restaurant bio de France – 2016), un bar, un jardin, une ferme urbaine, des espaces de coworking, une pépinière d’entreprises, un atelier de réparation de vélos, des événements festifs et bien d’autres activités et services. Le tout est tourné vers l’économie verte et responsable. Avec du recyclage et de la récupération, le lieu est original et très sympathique !
Je vous en reparlerai dans un prochain article dédié au street art à Bordeaux ! 😉
Plus d’info sur le lieu sur le site Darwin.
Nous nous posons en terrasse avec une « Darwin-Beer » avant de refaire la route à pied jusqu’au quai où se trouve l’embarcadère pour le Batcub que nous pouvons emprunter grâce à notre pass 24h. Là encore, nous n’avons pas de chance… Le départ de 17h semble être reporté à 17h40 et les trams ne circulent toujours pas.
On continue donc notre route à pied mais j’abandonne (pour aujourd’hui) l’idée de rejoindre le quartier des Chartrons. On reprend le Cours Victor Hugo, la rue Saint James, la rue du Pas St Georges, la place du Parlement, la rue Sainte Catherine.
Nous passons par la galerie Bordelaise, classée Monument historique, et nous voilà place de la Comédie. Au passage, nous nous sommes arrêtés dans quelques boutiques dont la librairie La Machine à Lire pour y admirer le cadre. On rentre également dans le magasin L’intendant. Il est situé dans une tour circulaire de 12 mètres de haut. 15 000 bouteilles de vin y sont réparties sur 5 niveaux. Nous regardons les menus sur les cartes des restaurants du chef britannique Gordon Ramsay, l’une des deux adresses propose des prix exorbitants…
On se (re)pose au pied du Grand-Théâtre en attendant 19h30. Nous avons réservé au restaurant « le Quatrième mur » du chef Philippe Etchebest. Il est situé au niveau de l’Opéra, au 2 place de la Comédie. Le lieu est très chic, la carte courte et une alternative végétarienne est possible sur demande.
Nous prenons chacun un cocktail pour commencer puis c’est le menu du soir : entrée, plat et dessert au choix. Les assiettes sont belles et savoureuses, les produits de qualité. Nous n’avons pas eu la chance de croiser le chef, on nous dit qu’il vient 3 ou 4 fois par semaine, toujours à l’improviste. En tout cas nous avons très bien mangé, dans un cadre sublime !
En sortant, nous nous rendons sur la place de la Bourse afin d’admirer le lieu de nuit et profiter du miroir d’eau qui offre à cette heure de la journée un magnifique reflet ! Les trams sont de retour et nous sommes bien contents de les utiliser pour rentrer à l’appartement.
Jour 3
Pour cette dernière journée à Bordeaux, nous prenons le tram à l’arrêt Gambetta, il faut bien rentabiliser notre pass 24h ! Nous passons alors sous la porte Dijeaux, qui délimite le centre-ville commerçant et piéton. Puis devant la librairie Mollat, la plus grande librairie indépendante de France qui est plus que centenaire, une autre fierté locale. Ensuite, direction la rue du Pas-Saint-Georges et plus précisément le numéro 56 où se trouvait le restaurant « Le Coin de Camille », qui semble être fermé depuis.
Nous y avons réservé un brunch, nous sommes les premiers mais la salle est ensuite complète. Le lieu est très sympathique et agréable. A notre disposition : un buffet sucré à volonté avec jus d’orange, de mangue ou de goyave, café ou thé, yaourts, baguettes, tartines, céréales, viennoiseries, confitures… Nous avons ensuite une grande assiette salée à partager et une assiette chacun avec œufs brouillés, omelettes ou œufs sur le plat avec ingrédients au choix. Nous terminons par une assiette sucrée avec gâteau, gâteau au chocolat et salade de fruits. Un premier brunch réussi !
Nous prenons ensuite le tram à l’hôtel de ville direction le quartier des Chartrons. Celui-ci donne l’impression d’être un village dans la ville. Il est peu animé en ce dimanche ce qui est normal mais je vous conseille en tout cas la rue du Faubourg des Arts. Elle accueille des artistes et artisans ainsi que le MUR. Il s’agit d’une toile urbaine de 35m2 qui sert de toile éphémère aux graffeurs. J’y reviendrai dans un prochain article ! 😉
Deux lieux paraissent sympathiques à voir dans le coin. Par exemple, la halle des Chartrons, belle halle du XIXème siècle et les chais de Luze, au n°89. Ceux-ci étaient fermés lors de notre passage. Aussi, pour les amateurs de vin, vous pouvez aller au musée du vin et du négoce, au 41 rue Borie. Ou encore à la cité du vin du côté du quartier Bacalan et des bassins à flots, le quartier Nord de Bordeaux (que nous n’aurons pas le temps de visiter) où se situe le pont Jacques-Chaban-Delmas à l’allure futuriste.
On continue à marcher rue Notre-Dame, où se trouvent de petites boutiques vintage et de créateurs, des antiquaires, des petites curiosités comme les colonnes de cet ancien temple protestant (le temple des Chatrons, inscrit au titre des monuments historiques) et l’église Saint-Louis des Chartrons, avec sa jolie rosace et sa parfaite symétrie. On rejoint le Cours Xavier-Arnozan, non loin du musée d’art contemporain (le CAPC). Et on continue sur le Cours de Verdun où se trouve l’entrée du jardin public. Sa création est décidée en 1746 à l’initiative de l’intendant Tourny (encore lui). Le lieu est très fréquenté en cette journée ensoleillée.
Nous n’avons pas eu le temps de le visiter, juste de le traverser car je voulais qu’on fasse un petit crochet par le palais Gallien, un peu excentré. Il s’agit des ruines d’un ancien amphithéâtre antique datant du début du IIème siècle qui pouvait accueillir 20 000 spectateurs. C’est le plus ancien vestige de Bordeaux et l’un des rares témoins de Burdigala, le nom de Bordeaux à l’époque Gallo-romaine.
Nous revenons sur nos pas pour prendre le tram en direction de la gare pour le retour. Devant celle-ci, se trouve le café du Levant. Il possède une très belle façade Art nouveau qui offre dès l’arrivée dans la ville une très belle image. Nous n’aurons pas le temps de découvrir le quartier avec l’église Sainte-Croix, la place Renaudel, le château Descas… Nous partons de Bordeaux à 17h08 pour un retour dans le Nord vers 22h, satisfaits de ce week-end de 3 jours ! 🙂
La place de la Bourse et son miroir d’eau, les splendides façades du centre historique, les mascarons, les quais de la Garonne, Darwin écosystème, les cannelés, la basilique Saint-Michel, la place et sa flèche, la cathédrale Saint-André, l’esplanade des Quinconces et le monument aux Girondins, la place de la Comédie et le Grand-Théâtre, le Quatrième Mur, la grosse cloche, le pont de Pierre, la tour Pey-Berland, la rue Sainte-Catherine, les portes, la place de la Victoire, le palais Gallien… Autant de bons souvenirs et de belles découvertes !
Et pour plus d’idées, rendez-vous sur le site de l’office du tourisme de Bordeaux.